La fin des voitures thermiques à l’horizon 2035 a déjà du plomb dans l'aile: pourquoi le dossier a de réelles chances de pourrir

Sous l’impulsion de puissants lobbyistes allemands et italiens, la décision, que l’on pensait coulée dans le marbre, est déjà remise en question.

En France aussi, des zones de basses émissions ont été instaurées. Et il y aura du changement en ce début d'année.
L'Europe veut interdire les voitures thermiques en 2035 mais se heurte aux contestations de l'Allemagne et l'Italie, entre autres. ©Belga

Au mois de juin dernier, les 27 Etats membres de l’Union européenne prenaient une décision qui devait sonner le glas des véhicules essence, diesel ou hybrides : ils approuvaient le projet de la Commission européenne d’interdire toute vente de véhicules thermiques à partir du 1er janvier 2035. Un projet qui laissait la route libre aux véhicules 100 % électriques et qui avait un objectif clair : participer à la réduction des émissions de C02 dans l’atmosphère et ainsi répondre aux objectifs de l’Europe, qui tend à la neutralité carbone à l’horizon 2050.

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